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Tu feras quoi plus tard ? révèle sa feuille de route 2024

Tu feras quoi plus tard ? joue la carte de la transparence et renverse la table ! Pour simplifier la construction des partenariats et être le plus clair possible sur ses objectifs et actions, l’association dévoile sa feuille de route pour 2024 et ses intentions à trois ans (jusqu’en 2026). Ça, c’est au sujet de la transparence.

En agissant de la sorte, l’association fondée en 2021 s’extrait par la même occasion de la logique des appels à projets (qui, parfois, mettent en compétition des structures plutôt que de les rapprocher). Dorénavant, l’association n’acceptera que les financements qui rentrent dans le cadre d’un projet au service des habitants de certains territoires (on vous dit lesquels dans la feuille de route). Renverser la table, c’est un bon début pour impulser le changement !

Sommaire. 📖

  • Pourquoi chercher à renforcer l’égalité des chances dans l’orientation professionnelle ? (lien)
  • À quoi sert Tu feras quoi plus tard ? ? (lien)
  • Quels sont vos objectifs pour 2024 ? Et après ? (lien)
  • Pourquoi et comment prendre part à vos actions ? (lien)
  • Combien d’argent souhaitez-vous lever ? (lien)
  • Quel sera l’usage des fonds ? (lien)
  • Que se passera-t-il si vous ne récoltez pas suffisamment d’argent ? (lien)
  • À quoi ai-je droit si je fais un don ? (lien)

Et oui ! Aujourd’hui, l’orientation professionnelle est un luxe. 💎

Les chiffres sont effarants ! 

  • 39% des ouvriers non qualifiés veulent se réorienter, mais seulement 8% y parviennent (CEREQ 2023)
  • 20% des utilisateurs de Parcoursup sont des étudiants en réorientation. (MENESR 2023)
  • Le taux de chômage est deux fois plus élevé chez les personnes en situation de handicap (AGEFIPH 2022)

Résultat, de trop nombreux jeunes subissent leur orientation professionnelle. Ils ne peuvent pas choisir la manière dont ils contribuent à la société. Pire encore : ils vivent un quotidien qui ne leur correspond pas. Tu as envie, toi, de t’enfermer dans un job qui ne te convient pas ? De trouver ton emploi non pas pour ce qu’il t’apporte, mais exclusivement pour répondre à l’urgence financière ? 

À l’arrivée, toutes ces personnes discriminées dans leur orientation professionnelle voient leur santé mentale, leur vie de famille et, même, leur engagement pour la démocratie et la planète menacés. 

En première ligne, on retrouve ceux qui ont arrêté l’école. Ça peut être pour plein de raisons : le système académique ne correspond pas à leur manière d’apprendre, ils sont porteurs de handicap, ils ont été harcelés ou discriminés, leur vie familiale est difficile voire instable… 

Chez Tu feras quoi plus tard ?, on est convaincus d’une chose : l’orientation professionnelle est un levier d’émancipation ! Accompagner chaque personne dans la construction de son parcours, c’est l’aider à : 

  • mieux se connaître (pour pouvoir choisir)
  • construire un projet professionnel qui correspond à sa situation
  • passer à l’action

Bref, c’est permettre à chaque individu de prendre sa place dans la société, d’agir en toute autonomie et de contribuer au monde que nous sommes tous en train de construire.

Mais au fait, Tu feras quoi plus tard ?, c’est quoi ? 😍

Dans la vie de tous les jours, c’est la question que tu entends trop. Et dans les faits, c’est l’association créée par Armand Cosseron, Farah Zaoui et Romain Deng-Guéret en 2021 (on est une bébé asso !). 🐣 

Tous les trois avaient plusieurs années d’expérience professionnelle (bon, on l’avoue, Romain terminait ses études). Mais riches d’un fort engagement associatif (10 ans pour Armand, 8 pour Farah et 5 pour Romain) ils ont dressé d’importants constats : 

  • la réalité du monde pro est trop éloignée de ce qu’on voit en formation
  • ce qui a fait la différence dans leur carrière est ce qu’ils ont appris en-dehors de l’école
  • la réorientation est la nouvelle norme. Toutefois, cette réorientation est imposée pour une partie de la population (on vous le donne en mille : les plus précaires !)

Donc nos trois larrons se réunissent pour fonder l’association Tu feras quoi plus tard ? avec des valeurs fortes dès le début : 

  • proposer des actions gratuites (pour qu’elles soient accessibles à tous !)
  • agir en faveur de la justice sociale et climatique (s’orienter, c’est aussi permettre à chacun de définir l’impact qu’il veut avoir autour de lui)
  • jouer collectif (s’attaquer à l’orientation professionnelle, c’est tout aussi bien réunir des associations, des jeunes, des entreprises et des pouvoirs publics) 

Mais avant de te présenter plus en détail comment on fonctionne, on doit te dire le changement qu’on veut voir dans le monde.  

Notre théorie du changement : recréer la fierté d’être soi pour agir ensemble. 🙌

Comme on te le disait : Farah, Romain et Armand ont remarqué que ce qui fait la différence, c’est ce qu’on n’apprend pas à l’école. Par exemple : comment prendre confiance en soi ? Comment construire son réseau professionnel ? Comment négocier son salaire ? 

Ces choses-là, soit tu as quelqu’un autour de toi pour te les apprendre et dans ce cas, tant mieux ! Soit, comme pour beaucoup, ce n’est pas le cas. Et là, débrouille-toi ! (T’inquiète, on est là!). 

Donc si tu suis bien, tu noteras qu’il y a une chose essentielle à la construction de ton parcours. 

La rencontre. 👈

Alors, nous, on veut créer les rencontres en faveur d’un changement durable, c’est-à-dire nécessaire à notre planète et à notre société. 

On voit le changement durable comme un changement vertueux car il s’agit à la fois d’un changement : 

  • économique (viabilité des associations et des personnes accompagnées), 
  • social (pour le bien de la société et en faveur du vivre-ensemble) 
  • écologique (respectueux de la nature et de l’environnement). 

Ces trois conditions nous paraissent indispensables pour permettre un changement vertueux. 

Et donc, pour y parvenir, il faut partir de la base : la fierté. Donner à quelqu’un l’autorisation d’être qui il est (car c’est de ça dont il s’agit) et de s’orienter vers les parcours qui l’inspirent le plus, c’est lui apporter les clefs de l’autonomie. Et, à partir de là, cette personne : 

  • se sentira acceptée pour ses différences
  • souhaitera s’engager pour la société (à laquelle elle se sent appartenir)
  • contribuera aux réponses pour surmonter les défis que nous traversons

Elle n’est pas belle, la vie qu’on imagine ? 

C’est bien beau tout ça, mais comment vous faites ? 😮

On te l’a dit : on est tout jeune ! (Tu feras quoi plus tard ? a été créé en 2021). Mais on a déjà de belles victoires à notre actif. 

  • 65 000 personnes inspirées par des parcours de pros qu’on a mis en lumière
  • 320 personnes de 11 à 50 ans accompagnées dans leur réorientation professionnelle
  • 20 structures de l’orientation embarquées dans le mouvement #OrientationForGood pour apporter le changement de fond dans l’orientation professionnelle

Et quand tu te dis qu’on est une mini-équipe avec trois francs six sous, franchement, on ne s’en sort pas trop mal. D’autant plus que les trois fondateurs agissent sur leur temps libre !

Tu t’en doutes, on veut aller bien plus loin ! On va te dire comment chacun peut agir à nos côtés, mais d’abord laisse nous te présenter un peu plus nos actions. 

En 2024, on va accompagner 1 000 jeunes des « petites » villes. 👍

L’orientation professionnelle, c’est avant tout une question de mobilité. Comment faire lorsque l’université la plus proche est à plus d’une heure de transports ? 

Il y a un réel enjeu : renforcer l’activité économique dans les territoires. 

Pour ça, on agit de trois manières : 

  1. On informe les 16-25 ans sur les parcours possibles. Dans l’absolu, mais aussi autour d’eux. Concrètement, on met en lumière des personnalités de leur territoire. 
  2. On anime des ateliers, pour apprendre ces fameuses compétences qu’on n’apprend pas à l’école. (Celles dont on parle un peu plus haut !). Parfois, on se chauffe jusqu’à monter des programmes de trois mois, pour accompagner sur la durée : de manière individuelle et collective. On a appelé ça BOOSTAVENIR, car ça permet vraiment de propulser son parcours ! 🚀
  3. On embarque les entreprises et pouvoirs publics du territoire. Car c’est eux qui ont la vision d’ensemble, mais aussi parce que c’est eux qui peuvent ouvrir les portes. Partir de soi et de l’individu, c’est peine perdu sans les acteurs pionniers prêts à innover dans le recrutement et l’accueil de leurs équipes. 

Et oui ! On reste convaincus que l’orientation professionnelle est l’affaire de tous ! 

Alors après nos premières actions dans l’Hérault (et déjà un peu en Île-de-France), on va pleinement s’implanté en Île-de-France pour déployer nos actions dans les villes de moins de 30 000 habitants. 

Tu viens avec nous ? 😊

En 2025 et 2026 : on pense global, mais on agit local 🇫🇷

Depuis 2021 (et via nos expériences précédentes), nous déployons une pédagogie innovante pour que chacun s’implique pleinement dans la construction de son parcours. On place l’écoute, le respect, la confiance et l’ambition au coeur de notre approche.

Dans les prochaines années, nous aimerions pouvoir agir dans toute la France, y compris dans les DROM (malheureusement, ces territoires sont souvent tenus éloignés des actions d’égalité des chances made in métropole). Pour pouvoir couvrir le territoire national, nous avons besoin :

  • de valider notre pédagogie (c’est un travail du quotidien)
  • de montrer qu’on sait gérer notre argent (souvent, les fondations demandent 3 ans d’ancienneté. Puisque t’es bon en maths, t’auras compris qu’on atteindra ce cap en 2024).
  • de nouer des partenariats avec des organisations de proximité (afin de bien comprendre les besoins du territoire. Chaque endroit est différent !)
  • de staffer l’équipe (#recrutement)
  • donc… de lever de l’argent 😊

Agir sur de nouveaux territoires et augmenter l’impact de l’association, on appelle ça le « passage à l’échelle ». Souvent, les fondations demandent de solides bagages : rapports d’activités, bilans financiers, etc. On dispose de ces outils. Mais, tu t’en doutes, avec deux années d’existence, on fait pâle figure. On reste une toute petite structure, alors les fondations et pouvoirs publics restent très frileux. Nous, on cherche les moyens de nos ambitions. Voilà comment on va s’y prendre !

  • Étape 1 : 2021 – 2023 : Construire une communauté solide. Depuis le début, on construit des relations de qualité avec les gens qui agissent sur le terrain : associations de proximité, petites et moyennes entreprises, équipes municipales, agences Pôle emploi et, surtout, jeunes en réorientation. Nos actions ne seront légitimes que si on parvient à porter leurs voix et résoudre leurs problèmes.
  • Étape 2 : 2024 – 2025 : Accompagner les habitants de « petites » villes en leur partageant les bonnes pratiques. Mais surtout, mobiliser les entreprises de ces territoires pour créer les ponts intelligents entre besoins en compétences, aspirations des habitants et évolution du territoire.
  • Étape 3 : 2026 et au-delà : Porter la voix des sans-voix. Valoriser les initiatives locales en faveur de l’inclusion dans l’orientation, pour créer des émules dans les autres territoires ! Pour ça, on va s’appuyer sur notre expertise en communication, mais aussi sur un outil digital adapté aux usages des jeunes (que nous sommes déjà en train de construire).

Ainsi, on espère que d’ici trois ans, l’association aura directement accompagné 4 000 jeunes dans leur orientation professionnelle et inspiré des vocations auprès de 10 000 autres.

Tu veux en savoir plus sur notre méthodologie et comment nous allons nous y prendre pour atteindre ce résultat ? Demande à Armand !

Pourquoi m’impliquer si je représente une entreprise ? 🌇

L’orientation professionnelle va rester en échec si on ne modifie pas deux-trois trucs. En fait, les entreprises en subissent déjà les travers de plein fouet : 

  • 7% des employés sont réellement engagés dans leur travail (Gallup 2023)
  • 30% des salariés attribuent leur mauvais état de santé mentale à des raisons professionnelles (Malakoff Humanis 2023)
  • 5% de baisse de productivité en France entre 2019 et 2023, notamment à cause d’arrêts maladie et d’absentéisme. (DARES 2023)

Le constat est alarmant. Et tout ça, en partie, résulte d’une mauvaise orientation professionnelle. Tu as envie de te lever le matin pour un job où tu te sens mal ? Tu as envie de te dépasser dans un métier que tu as choisi par dépit ? 

Dans l’équipe, on a décelé trois bonnes raisons d’associer ton entreprise à Tu feras quoi plus tard ? ! 

  1. À moyen terme, vous limitez les effets néfastes de la désorientation professionnelle. On ne va pas vous promettre de réduire le turnover (on est en 2024 et les gens ont la bougeotte). Mais on peut améliorer l’engagement et l’envie de s’impliquer pleinement dans les projets de ton entreprise. 
  2. Allez, on parie qu’il y a des parents dans la boîte ! (Ou de futurs parents ?) Vous souhaitez vraiment que vos enfants galèrent autant que vous (ou que les personnes dont on parle depuis le début de cette page ?). 
  3. Le bon sens. On est désolé, on n’a pas trouvé de meilleure formule. Mais soutenir une association qui agit pour réduire les inégalités, renforcer l’autonomie financière des plus précaires et dynamiser le tissu économique des territoires, on trouve (vraiment) que ça relève du bon sens. 

Et tu veux un secret ? (Qui n’en est pas un.) ⤵️

Quand une entreprise devient partenaire de Tu feras quoi plus tard ?, elle a trois fois plus d’impact ! Car pour chaque euro qu’elle investit dans l’association (oui, on n’a pas peur des mots. S’associer à Tu feras quoi plus tard ?, c’est améliorer le tissu économique et social d’un territoire. Donc on parle bien d’investissement). Donc, pour chaque euro qu’elle investit, elle récupère les deux tiers en réduction d’impôts ! 

À titre d’exemple, nous filer 10 000 euros, dans les faits, ça ne fait qu’une sortie de 3 400 euros. (Maintenant, regarde le budget imprimante de ta boîte. Ça fait combien ? Voilà, nous on le dit : “Moins de papier, plus de Tu feras quoi plus tard ? !”. ) 

Just saying… 😉

Est-ce que je dois forcément faire partie d’une organisation pour soutenir Tu feras quoi plus tard ? ? 🌱

Il y a un an, on t’aurait dit que oui. L’orientation est un travail collectif et, jusque-là, on était plus à l’aise de s’entourer de structures : entreprises, collectivités et associations. 

Mais on ne veut priver personne dans la réalisation de ses engagements. Alors pour 2024, on s’ouvre au soutien des citoyens ! 

Ça veut dire deux choses : 

  1. On accepte les engagements bénévoles (même ponctuels). On est convaincus d’une chose : ce sont les “premiers concernés”, ceux qui vivent les questions de réorientation professionnelle au quotidien, qui sont les mieux placés pour en parler. On te détaille bientôt les missions qu’on ouvre aux bénévoles. 
  2. On accepte les dons de particuliers. Alors, si tu veux filer un coup de pouce sur l’un de nos projets, effectuer un simple don ou (mieux encore) nous soutenir un petit peu chaque mois, go sur ce lien ! Franchement, il n’y a pas de mauvais dons. Même 1€, ça nous aide (on ne sait pas comment, mais ça nous aide.) 

D’ailleurs, tu réduis tes impôts en faisant un don dans Tu feras quoi plus tard ? ! (Bon, tu l’auras compris, on préfère parler d’investissement nous concernant). Si tu mets 200 € dans l’association, ça ne revient qu’à déverser 68 €. Économique, n’est-il pas ? 

D’ailleurs, c’est qui vos alliés ? 💚

On travaille en équipe ! À nos côtés, tu vas retrouver une dizaine d’associations de l’égalité des chances et de l’insertion professionnelle. On est également soutenus par des fondations privées ainsi que des PME. Et au quotidien, on a l’habitude de travailler avec des institutions, comme des municipalités ou France Travail, qui regroupe Pôle emploi, Cap emploi et les Missions Locales. 

Nous avons notamment été soutenus par TKL Consulting, Evolem Citoyen, Envinergy, la Ville de Frontignan-La-Peyrade, la Fondation GRDF, le groupe Upward et Make Sense.

De quoi a-t-on besoin pour atteindre nos objectifs ? 🎯

En 2024, comme on l’a dit, on va mettre l’accent sur l’autonomisation des jeunes de villes de moins de 30 000 habitants. Notre but, leur permettre de s’orienter tout au long de leur vie. Comme ça, on espère qu’ils feront les meilleurs choix dans la construction de leur parcours ! 

Concrètement, ça va prendre cette forme-là : 

Côté équipe : 

  • On accueille des volontaires en service civique pour animer notre communauté (naissante) de bénévoles.
  • On salarie un poste (le délégué général) pour déployer l’association et intervenir, dès 2025, dans d’autres territoires. (Comme ça, on accompagne plus de monde !)
  • On continue (comme on le fait depuis le départ) de rémunérer des freelances. Ils interviennent sur des compétences très techniques. Le bénévolat, c’est sympa. Mais on ne paye toujours pas nos loyers en remerciements. 

Côté actions : 

  • On crée des ressources sur les réseaux sociaux pour valoriser les solutions d’orientation et personnalités d’un territoire. Plus tu découvres de parcours, plus tu te projettes dans celui qui peut te correspondre ! 
  • On anime des ateliers. Pour les jeunes : c’est apprendre à s’orienter. Pour les jeunes (et moins jeunes) en entreprise : c’est développer sa culture inclusive. On te l’a dit : on intervient sur les deux bouts de la chaîne. Sinon, ça tombe à l’eau ! 
  • On coordonne un mouvement. #OrientationForGood, c’est 20 structures de l’orientation qui veulent faire bouger les lignes de la manière dont on s’oriente en France. Pour que ce soit plus inclusif et représentatif des besoins de celles et ceux qui sont exclus de l’emploi. 

Et, on l’espère, plein de belles autres activités. 

Pour tout ce qu’on te présente là, on estime notre besoin à 200 000 euros. 

Si tu calcules bien, tu verras que l’accompagnement qu’on propose coûte 200 euros par personne accompagnée. C’est très peu. On te le dit : on a de l’expérience dans le monde associatif et on n’a jamais vu ça ailleurs. 

L’argent qu’on récolte va nous permettre de : 

  • Organiser les ateliers offerts aux associations et deux éditions de BOOSTAVENIR dans des communes d’Île-de-France de moins de 30 000 habitants (location de locaux, repas et transports des apprenants, rémunération des experts qui interviennent).
  • Fournir aux équipes le matériel et les services nécessaires pour accomplir leurs missions (ordinateurs, billets de train, micro pour les podcasts et vidéos, trépieds).
  • Couvrir les frais administratifs divers (hébergement du podcast, frais bancaires, assurance, site web).
  • Rémunérer cinq personnes impliquées dans l’équipe Tu feras quoi plus tard ? (1 salarié, 2 services civiques et 2 freelances). Ces cinq personnes représentent 3 équivalents temps plein. 
  • Encourager la R&D sociale, effectuer notre mesure d’impact et continuer d’innover en testant de nouvelles approches pour répondre aux besoins pédagogiques des publics éloignés de la formation et de l’emploi. (Notre ambition : accompagner plus de monde, toujours de manière qualitative et créer de l’emploi).

Chaque année, on organise une assemblée générale. C’est le moment où on dresse le bilan de nos actions et projette la suite. À cette occasion, le bureau de l’association rend compte du bilan financier et du bilan moral. Autrement dit, tu seras fréquemment informé(e) de l’usage des fonds : combien a-t-on dépensé ? Auprès de qui ? Pourquoi ? C’est le max qu’on puisse faire pour garantir la transparence : nous non plus on n’aime pas les charlatans.

Par contre, si on ne parvient pas à lever l’argent, tu n’entendras plus parler de nous en 2025. Pour Farah, Romain et Armand, on ne s’inquiète pas. Ils ont les bagages pour rebondir et de nombreuses occasions de porter leurs engagements. En revanche, pour les 4000 jeunes qu’on souhaite accompagner dans les trois ans à venir, ça va devenir très difficile. Car ils vont perdre l’occasion de construire le parcours professionnel dont ils ont envie. Et franchement, on ne veut pas en arriver là. 😕

À quoi ai-je droit si je fais un don ? 🎁

  • Déjà, tu défiscalises entre 60 et 75%. Concrètement, tu vas récupérer une partie de tes dons sous forme de crédit d’impôts. (En gros, tu payes moins d’impôts). C’est valable pour toi (en tant que particulier) ou pour ton entreprise (si tu fais le don au nom de l’entreprise).
  • Ensuite, à ton échelle, tu réduis les inégalités et tu contribues à la paix sociale, bravo ! Donc on espère que chaque soir, tu te couches en allant un peu mieux !
  • Si tout se passe bien, on organisera une rencontre annuelle pour célébrer l’inclusion dans l’orientation. C’est aussi l’occasion pour nous de remercier toutes les personnes qui agissent à nos côtés. Bien entendu, tu y seras convié(e) !
  • Contribuer aux actions de Tu feras quoi plus tard ?, c’est rejoindre l’équipe. Et on adore jouer collectif ! Ça veut dire que dès qu’on peut faire des ponts entre des personnes formidables, on le fait !

Trois bonnes raisons de soutenir Tu feras quoi plus tard ? ! 🚀

  1. Number one : on est une association d’intérêt général. Chaque euro placé dans l’asso, c’est pour aider les plus démunis à reprendre la main sur leur avenir. 
  2. Number two : on est tout jeune et tout petit. Garanti 100% transparence sur l’usage des fonds et les perspectives de l’association. 
  3. Number three : on “give back”. En réalité, nous soutenir, c’est soutenir à travers nous tout un tissu associatif de structures de proximité. Celles dont tu n’as jamais entendu parler car elles ont à peine un site internet et passent leurs journées sur le terrain plutôt qu’à faire de la communication. 

N’attends pas. Aujourd’hui, c’est le bon moment pour t’engager à nos côtés ! 

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